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 Les cas serieux

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MessageSujet: Les cas serieux   Les cas serieux Icon_minitimeJeu 13 Mar - 15:23

Bonjour a tous ,

Les cas "sérieux" de crash d'OVNI sont rare: Roswell (USA), Shag Harbour (Canada), Varginha (Brésil), Kecksburg (USA), semblent les plus crédibles...

Les Soucoupes ensevelies.

Il se trouve en divers endroits du monde des objets archéologiques assez particuliers. Pour la plupart d'entre eux, on n'a aucune idée de l'époque à laquelle remonte leur ensevelissement. Pour d'autres, des récits de crash viennent corroborer la présence dans le sol d'engins qui n'ont jamais pu en être extraits. Dans d'autres cas encore, il semblerait que des opérations de récupération ont eu lieu, dont les résultats sont cependant hors de portée du commun des mortels.
Voici quelques exemples de ces énigmatiques objets, détectés ou investigués dans des lieux les plus divers:

- La soucoupe de Tallin
- Le disque mexicain
- La soucoupe immergée de la Shell

La soucoupe de Tallin.
Le cas suivant a émergé dans les années '80 en Estonie - alors que ce pays connaissait encore le régime soviétique, dont il s'est libéré depuis. L'affaire se passe donc sur un kholkoze des environs de Tallin, la capitale.
Des travailleurs de ce kholkoze sont occupés à creuser un puits, non loin d'un corps de bâtiments, pour une nouvelle amenée d'eau. En fait, ce sont un certain nombre de surprises et de tracas qui vont sortir de ce forage... En effet, les ouvriers vont tomber sur rien moins qu'une soucoupe complètement enterrée; ceux qui auront paticipé au forage mourront rapidement de façon inexpliquée, tandis que d'autres qui auront transporté jusqu'à Moscou de l'eau pompée sur le site pour analyse souffriront de paralysie. Mais voyons plus en détails comment s'est déroulée cette affaire.(1)
Paul Stonehill rapporte qu'en 1984, l'académicien soviétique Nikolaï Nikolayevitch Sotchevanov (2), spécialiste en géologie et minéralogie, reçut la visite d'un de ses amis, un Estonien, qui lui apportait un morceau de métal dense et argenté, en lui racontant l'histoire suivante:
"Dans une ferme collective proche de Tallin, un puits était creusé quand à une profondeur d'environ 3 mètres, les ouvriers heurtèrent quelque chose de métallique, très dur; en continuant de creuser, ils dégagèrent le bord d'un disque métallique qui émergeait de la paroi du puits. L'épaisseur du métal, à cet endroit, n'était que de 2 cm, pourtant le foret ne parvenait pas à pénétrer le métal.
"Un compresseur fut apporté sur place, et en utilisant une foreuse pneumatique, les ouvriers purent arracher un morceau du disque métallique; la pièce fut envoyée à Tallin, successivement dans deux institutions qui l'analysèrent - mais parvinrent à des résultats opposés! L'un des instituts prétendait qu'il s'agissait d'un alliage compliqué, tandis que selon l'autre, ce n'était que de la fonte!
Les Estoniens requirent l'aide de Sotchevanov pour procéder à une analyse dans les laboratoires de pointe de Moscou, et pour ce faire on découpa la pièce en morceaux plus petits, avec de scies munies de diamants (dont deux furent endommagées durant l'opération). D'après le V.I.A.M. (Vsyesoyuznhiy Institut Aviatsionikh Materialov, ou Institut Unifié des Matériaux pour l'Aviation), il fut établi, lors des tests, que l'échantillon de métal mystérieux avait une microsolidité variant entre 330 et 1500 kg/mm. Le métal était d'une apparence dense et dure, d'une couleur argentée. Son poids spécifique (densité) était de 6.3 à 6.6. Les différents laboratoires qui étudièrent les fragments furent l'Institut moscovite pour

l'Ingénierie physique, l'Institut Unifié pour les Matériaux minéraux bruts, le V.I.A.M. déjà mentionné, ainsi que d'autres laboratoires.
D'après Sotchevanov, les scientifiques soviétiques de pointe "n'avaient aucun doute sur l'origine extraterrestre de l'objet". On compte au nombre de ces scientifiques le Professeur Mitine, qui est le plus grand expert russe en poudres métalliques, ainsi que l'académicien soviétique Kishkine, qui déclara, consécutivement aux tests du V.I.A.M.: "L'usage de tels alliages est inconnu dans la technologie aéronautique. Un alliage de ce genre doit être extrêmement résistant à la chaleur, et posséder la résistance nécessaire pour supporter l'immersion dans des mélanges acides de quelque concentration que ce soit!" Kishkine assura aussi à Sotchevanov que les laboratoires les plus avancés d'Union Soviétique, pas plus que ceux des U.S.A., du Japon ou d'Allemagne, n'étaient capables de produire un tel alliage, et qu'il avait été soumis dans les laboratoires de Moscou aux tests les plus poussés, amenant les scientifiques qui les avaient faits à s'accorder sur un point: le métal n'était pas d'origine terrestre, et ne provenait pas non plus d'une météorite.
Suite à ces découvertes, Sotchevanov se rendit immédiatement en Estonie pour y faire usage de ses dons de... sourcier! Il parvint par ce moyen aux conclusions suivantes sur l'objet enterré près de Tallin:
- Il y a effectivement un objet enseveli dans le sol à cet endroit, qui génère avec puissance une zone anormale;
- Le diamètre de l'objet atteindrait approximativement 15 mètres, et pèserait près de 200 tonnes;
- Sa forme serait discoïdale, amincie vers les bords; la partie centrale aurait une épaisseur d'à peu près 4 mètres, et l'objet reposerait dans une position grosso modo horizontale, avec une inclinaison de 35°;
- Un tiers du corps de l'objet est situé très près d'une maison: c'est de ce côté que l'objet affleure le plus la surface du sol, à une profondeur de 3 à 4 mètres - le côté le plus enfoncé dans la terre descendant jusqu'à une quinzaine de mètres.
Sotchevanov envoya un rapport complet aux autorités militaires et à la Commission Industrielle du Conseil des Ministres de l'URSS. Leur réaction fut immédiate: toute publication de quelque information sur cette affaire fut interdite, et un rapport plus approfondi fut commandé. Ce deuxième rapport fut adressé à l'Académie des Sciences de l'URSS. De là, il fut transmis à l'Institut de Géologie d'Estonie, qui ordonna l'exhumation de l'objet (mais on ne sait pas par qui) - cependant il semble qu'aucun fonds n'ait été disponible pour réaliser l'opération. Après une année, rien n'avait été fait. Une société du nom de VOLNA entreprit enfin l'excavation, mais commit toutes sortes de grossières erreurs dans le processus, et finalement rien ne fut sorti du sol! C'est ainsi que l'objet repose toujours dans le sous-sol estonien.
A moins que... les Russes se soient donné par la suite les moyens de procéder à une excavation dans des conditions de secret absolu - ce qui semble difficile vu le lieu et la grandeur et le poids de l'objet.
(1) Sources: Paul Stonehill, Russian Ufology Research Center, 5700 Etiwanda Street, Tarzana, California 91356
Flying Saucer Review, Volume 43/2, été 1998
(2) Nikolaï Sotchevanov est membre de l'Académie russe de la Science et de la Culture, et Président de la Commission Interdépartementale Russe sur les Questions relatives à la Sourcellerie (et non pas sorcellerie!)

Le disque du lac salé mexicain.
Un correspondant du CAUS (Citizens Against UFO Secrecy) rapporta le 23 décembre 1999 les faits suivants:
Je reçus il y a à peu près trois ans un téléphone d'un prospecteur local de San Diego (Californie), qui "prospectait" dans un endroit appelé Laguna Salada, et qui est le lit d'un lac desséché situé entre les villes de Tecate, Ensenada et Tijuana, au Mexique. Le prospecteur utilisait un détecteur de métaux dans un coin qu'il pensait être le plus profond de l'ancien lac, quand les aiguilles lui indiquèrent qu'il se trouvait en présence d'un gros objet métallique sous le sol - mais les mesures restaient identiques alors qu'il avançait! Il entreprit de trianguler l'endroit et il revint sur place le lendemain.
L'homme m'informa que cet après-midi-là, le plan qu'il put établir à l'aide de ses instruments indiquait un objet circulaire, d'une douzaine de mètres (35 pieds) de diamètre. Il tenta d'enfoncer une barre à mine en son centre, et quand la barre atteignit une profondeur d'un mètre vingt (4 pieds), il entendit un son métallique. Il allait se mettre à creuser quand il remarqua qu'il était observé par des soldats mexicains qui se tenaient sur une colline proche. Il s'assit alors immédiatement, fit mine de se reposer simplement quelques instants, puis se leva pour s'en aller. Les soldats l'approchèrent alors et lui demandèrent ce qu'il faisait là. Il leur répondit qu'il cherchait de vieilles pièces de monnaie, mais qu'il n'en avait pas trouvé.
Les soldats le firent déguerpir, ignorant apparemment ce qu'il avait réellement trouvé. Mais ils restèrent sur place et ne cessèrent de fréquenter cet endroit depuis lors, aussi notre informant pense qu'il serait très difficile d'entreprendre des fouilles. J'ai entendu dire que l'armée mexicaine est impitoyable avec les étrangers qui viennent se balader avec des engins de détection électroniques, et il vaudrait mieux, par conséquent, attendre quelques années pour organiser une sorte d'expédition de "camping", avec plusieurs véhicules aménagés.
Un dernier mot: les indications du détecteur montrent un objet en forme de soucoupe sous le sol desséché... avec un dôme au centre.
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MessageSujet: Re: Les cas serieux   Les cas serieux Icon_minitimeJeu 13 Mar - 15:23

La soucoupe immergée de la Shell.
La plate-forme de la Shell "Pacesetter 2" fut installée sur le plateau continental, à 90 miles (140 km) de la côte du New Jersey, dans la région connue sous le nom de "Georges Bank".
Lors du premier essai de forage, ils cognèrent sur du métal. Pensant que c'était un bateau coulé ou un sous-marin de la IIe Guerre mondiale, ils consultèrent le War Dept. et l'Allemagne de l'Ouest, mais aucune perte n'avait été enregistrée dans cette zone.
Les sondages au sonar détectèrent un objet d'à peu près 50 pieds (15 mètres) de diamètre, par 200 mètres de fond.
Le 8 juin, quatre treuils furent descendus, et l'objet fut remonté à la surface. Il était couvert de balanes (genre de crustacés cirripèdes), sauf au centre sur le dessus. Il avait de petites ouvertures rectangulaires tout autour.
Quand les balanes furent décollées, une forme de "soucoupe volante" apparut. Le chef de la plate-forme appela immédiatement ses supérieurs par radio à Atlantic City.
Trois officiels de la Shell arrivèrent en hélicoptère, accompagnés par un physicien du Massachusetts Institute of Technology.
Les inspections préliminaires révélèrent que l'engin avait été immergé pendant environ

600 ans, contenait un équipement qui "n'était pas de ce monde", et qu'on ne pouvait l'identifier.
Ils découvrirent une sphère argentée de la taille d'un ballon de basket. Quand on le tenait à bout de bras, cet objet ne tombait pas. (Cette sphère avait été trouvée au centre exact de l'engin).
Un autre hélicoptère arriva avec 5 agents de la CIA, qui produisirent une autorisation de la Maison-Blanche, et les informèrent qu'un bateau était en route pour récupérer l'appareil.
La CIA essaya d'arrêter les physiciens dans leur opération de démontage de l'objet, mais un officiel de la Shell leur dit que tout ce qui se trouvait sur la plate-forme était propriété de Shell Oil Co., et qu'ils ne leur laisseraient pas l'objet avant l'arrivée du bateau.
En poursuivant leur exploration, les physiciens découvrirent un objet cylindrique avec un bouton rouge à l'extrémité. Quand on pressa dessus, un mince rayon blanc en sortit, qui s'épuisait à une distance d'un mile environ. Un assortiment d'autres gadgets fut mis à jour, comprenant une tige qui produisait un arc électrique ressemblant à un éclair, qui causa un trou dans les nuages au-dessus d'eux, et une substance ayant l'apparence du mastic, qui fit une énorme explosion quand un petit morceau en fut jeté à l'eau.
Le bateau de la CIA arriva peu après, et les agents commencèrent à emballer les étranges gadgets dans des sacs molletonnés. Ceux-ci, avec la soucoupe et les morceaux, furent transférés sur le bateau.
L'homme qui rapporta ces faits retourna à Atlantic City avec les officiels de la Shell. Tous les hommes sur la plate-forme durent jurer de garder le secret, et de ne rien divulguer de ce qui était arrivé.
Aucune communication ne fut jamais publiée au sujet de cet objet.

Les Roswell espagnols.
Dans son numéro 05/118 du mois de mai 2000, la revue hispano-américaine AÑO/CERO publie un article intitulé "les Roswell espagnols", consacré aux crashes d'objets non identifiés en différents points du territoire espagnol, objets récupérés par les forces américaines stationnées dans la péninsule, parfois en collaboration avec la Guardia Civil.
Plusieurs cas intéressants sont cités: celui, par exemple, d'un appareil métallique de deux mètres de long qui, après avoir effrayé le bétail d'un paysan andalou, s'est écrasé sous ses yeux dans une grande explosion! Peu après, des hélicoptères de la base aérienne de Rota survolaient l'endroit, tandis que camions et véhicules militaires posaient des barrages alentour. Les militaires américains récupérèrent les débris sans en laisser un seul morceau.
Curieusement, aucune autorisation d'utiliser des engins télécommandés n'avait été accordée aux forces nord-américaines, et le gouvernement espagnol ignorait tout d'une telle activité. Quand un député de la gauche unie questionna le ministère de la Défense à ce sujet, dans le cadre de la protection des riverains de la base américaine, il s'avéra qu'aucun document ne put être trouvé relatif à ces opérations de récupération d'objets volants par l'armée US. Il semblait donc qu'il s'agissait d'une rumeur sans véritable fondement - n'eussent été les dix photographies prises par un témoin (qui demeure anonyme pour des raisons évidentes) d'un avion-espion écrasé au sol et de sa récupération par les troupes yankees.
Quelques-unes de ces photos illustrent l'article d'AÑO/CERO. On y voit des débris dans un champ, et un gros appareil à deux rotors à quelques mètres au-dessus du sol.
AÑO/CERO a pu obtenir un entretien avec le colonel Juan Alberto Perote, de l'AOME (le Service Action des renseignements espagnols), qui a confirmé que derrière les observations d'OVNI se cachait souvent des opérations secrètes, et qu'un avion furtif américain s'était même écrasé en Espagne.
Des agents de la CIA, contactés par l'entremise du colonel Perote, ont confirmé le fait.
Le cas le plus extrême cité par AÑO/CERO concerne un objet qui a été observé par des centaines de témoins en Galice, le 18 janvier 1994. L'OVNI paraissait devoir s'écraser. La Guardia Civil boucla le périmètre de la chute présumée, et pour la première fois des scientifiques de l'université de Santiago, les Pr Docobo et Tamazian, purent aller étudier sur place l'impact de la chute de l'objet inconnu. Un cratère de 25m de diamètre pour une profondeur de 1,5m était au centre de cette partie de forêt dévastée, des pins de 20m ayant été projetés à plus de 60m de distance! La population d'un village l'avait échappé belle car les premières maisons ne se trouvaient qu'à 75m de là...
Les universitaires, qui au départ pensaient qu'il pouvait s'agir d'une grosse météorite, durent conclure suite à leurs analyses chimiques, magnétiques et géologiques, que l'objet en cause était plus probablement un appareil militaire expérimental. AÑO/CERO a retrouvé le propriétaire du terrain sur lequel l'objet s'est écrasé: il raconte qu'il avait rencontré sur sa propriété, dans les jours qui suivirent le crash, différents policiers, gendarmes et militaires.
Le 23 novembre 1993, dans la même région, un objet allongé comme un tube, métallique et grand comme un autobus, s'était abîmé dans la mer après avoir survolé des douzaines de villages à basse altitude. Des marins, pêchant près de l'île d'Ons, l'avaient vu soulever une gigantesque gerbe d'eau, et l'avaient décrit comme "un suppositoire en feu". En retraçant sa trajectoire, AÑO/CERO s'est aperçu que s'il s'agissait d'un missile, il ne pouvait provenir que de la région de Porto - au Portugal... Le ministère de la Défense espagnol avait bien reconnu que les incendies de la région de Leon avaient été provoqués par des Milans - mais comment expliquer des tirs provenant du pays voisin, et survolant les habitations à basse altitude?

AÑO/CERO fait encore état d'un document du ministère de la Défense, récapitulant une longue liste de crashes d'OVNI à travers le monde, dont certains avec récupération d'êtres supposés extraterrestres. Un de ces cas concerne l'Espagne. Y aurait-il, parallèlement aux essais secrets menés par les USA dans la péninsule ibérique, de "véritables" OVNI qui auraient été récupérés par les mêmes services? Les agents du CESID (les services secrets espagnols) n'écartent pas cette hypothèse.

A bientôt
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