Physio Fondateur
Nombre de messages : 488 Date de naissance : 29/05/1983 Age : 41 Localisation : Boulogne Billancourt Emploi/loisirs : Voyage astral , magie élémental , flash , medium , rêve prémonitoire Date d'inscription : 13/03/2008
| Sujet: Rapprochement interessant avec la technologie 2007. Jeu 13 Mar - 15:11 | |
| Bonjour ,
Un des rare cas d'un crash d'OVNI avec traces physique est celui de l'accident qui s'est produit sur la plage d'Ubatuba au Brésil le 14 septembre 1957. LE RECIT: L'histoire a commencé quand Ibrahim Sued, un journaliste de O Globo (un grand quotidien Brésilien), a reçu une lettre le 13 Septembre 1957. La lettre était signée mais la signature était illisible. Cellle ci indiquait:
"En tant que lecteur fidèle de vos colonnes et votre admirateur, je souhaite vous communiquer des infromations du plus haut intérêt pour un homme de presse, au sujet des sooucoupes volantes. Si vous croyez qu'elles existent, naturellement. Je n'ai jamais rien cru de ce qui a été dit ou édité à ce sujet. Mais il y a juste quelques jours j'ai été forcé de changer d'avis. Je pêchais avec quelques amis, à un endroit près de la ville d'Ubatuba, Sao Paulo, quand j'ai aperçu un disque volant. Il a approché la plage à une vitesse incroyable et un accident, c.-à-d. un crash dans la mer semblait imminent. Au dernier moment, cependant, alors qu'il allait presque frapper les eaux, il a effectué un virage serré vers le haut et s'est élevé rapidement avec une impulsion fantastique. Nous avons suivi le spectacle de nos yeux, stupéfaits, quand nous avons vu le disque éclater en flammes. Il s'est désagrégé en milliers de fragments ardents, qui sont tombés en miroitant avec des éclats magnifiques. Celà ressemblait à un feu d'artifice, en dépit de l'heure de l'accident, à midi. La plupart de ces fragments, presque tous, sont tombés dans la mer. Mais un certain nombre de petits morceaux sont tombés près de la plage et nous avons pris une grande quantité de ce matériel, qui était aussi léger que le papier. Je vous envoye un petit échantillon. Je ne sais pas en on devrait avoir confiance pour l'analyse, je ne sais pas à qui les envoyer. Je n'ai jamais entendu parler de récupération de soucoupe volante, ou des fragments ou des pièces d'une soucoupe qui auraient été trouvés." Deux des trois échantillons furent envoyés à l'APRO, tandis que le troisième fut conservé par l'ufologue Brésilien le Docteur Olavo Fontes pour étude approfondie.
Les trois échantillons ressemblaient à des morceaux de métal irréguliers et fortement oxydés, de couleur gris blanchâtre mat.
Le premier échantillon a été examiné aux laboratoires de production de minéraux du ministère agricole Brésilien. Ils ont appliqué des techniques chimiques, des analyse spectrographique et de rayon X sur le métal. Ces essais ont indiqué que le matériel était en magnésium très pur. Les chimistes ont également noté que tous les oligoéléments normaux prévus dans le magnésium étaient manquant.
Fontes a épuisé tout son échantillon dans une série d'autres d'essais, qui ont compris une autre recherche conduite aux rayon X, et des recherches de chimiste aux laboratoires d'un départment de géologie, et des fragments furent envoyés aux départements de recherches de d'armée et de la marine brésiliennes. L'armée et la marine ont maintenu les résultats de leurs études secrets.
Un échantillon des débris d'Ubatuba (à gauche) examiné au microscope (à droite) révéla une pureté très haute qui ne pouvait pas être naturelle. Photos provenant de Walter Walker et du Dr. J. Allen Hynek du Center for UFOS Studies.
Le laboratoire de géologie a déterminé que le magnésium était d'une pureté très grande avec une mesure de pureté de 1,87 par opposition à une mesure normale de 1,74.
L'APRO a envoyé un échantillon à l'U.S. Air Force, mais l'échantillon qu'ils ont envoyé fut victime du "accident" tandis que l'U.S. Air Force l'examinait. L'U.S. Air Force a demandé qu'un autre échantillon soit envoyé. L'APRO a refusé.
Les échantillons restants furent encore analysés avec des résultats variables, jusqu'à ce que les échantillons soient devenus trop petits pour n'importe quelle utilisation dans des tests.
L'APRO possède toujours un petit échantillon restant dans ses coffres.
REFERENCES:
Présentation au House Committee on Science and Astronautics Symposium on Unidentified Flying Objects, 1968, par le Dr. James A. Harder.
Plus dur que l'acier, mais quatre fois plus léger
Le professeur Yasuo SHIMIZU et son équipe de l'Université de Shinshu ont développé un nouveau matériau composite ayant une dureté comparable à celle de l'acier, pour une masse quatre fois plus faible que celui-ci. Les chercheurs ont incorporé 1% de nanotubes de carbone d'un diamètre de 100 nm à un alliage de magnésium. La mise en application du procédé est attendue pour 2008.
Struture d'un nanotube comparée à d'autres structures en carbone
L'alliage est fragmenté en morceaux de 20 à 100 micromètres, puis les nanotubes de carbone multi-feuillets sont incorporés. Le mélange est alors durci grâce à une action combinée de température et de pression. Les méthodes antérieures qui consistaient à faire fondre, puis à mélanger le métal ne permettaient pas d'obtenir un matériau homogène et stable. La dureté du matériau ainsi obtenu est 2 à 3 fois supérieure à celle de l'alliage d'origine, égalant quasiment celle de l'acier couramment utilisé dans l'industrie automobile, pour une masse 4 fois moindre.
Le coût des nanotubes de carbone étant encore très élevé, le prix de revient de ce matériau est de 1800 yens le kilogramme (11 euros), soit 20 fois plus que celui de l'acier. L'équipe espère cependant que la production de masse de nanotubes de carbone permettra de produire ce composite à faible coût, rendant possible son utilisation dans l'industrie automobile, réduisant le poids des véhicules et de ce fait, leur consommation énergétique.
Source: BE Japon numéro 461 (26/10/2007) - Ambassade de France au Japon / ADIT A bientôt | |
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